مدونة جعفر عبد الكريم الخابوري

Quel est le sort de la résistance : une idée et une pensée ?
30 septembre 2024
Dr Abdul Latif Omran
Hassan Nasrallah, Son Éminence le Sayyed, a déménagé pour être avec les deux amis, martyrs et justes, et Hassan était un camarade d'entre eux. Il est devenu un symbole national, arabe et international de résistance contre l'occupation, la colonisation et la barbarie. Celui qui l’a voulu et celui qui l’a refusé. Le projet sioniste dans la région est-il un projet de développement : humainement, socialement ou moralement ?! La réponse est pour ceux qui sont gênés par la résistance, même par sa culture et son approche.
Qui peut nier qu’il existe des terres arabes occupées et des lieux saints islamiques et chrétiens que les sionistes altèrent et profanent génération après génération ?
Qui peut nier qu'il existe une occupation et une dépossession de quelque chose d'autre que la géographie de la terre, de la volonté, de la décision, de la richesse, de la promesse et de la menace... etc., qui n'est pas perdue dans l'esprit des fils de la vie, le descendants de la civilisation arabo-islamique de l'océan au Golfe... et bien au-delà ?
Qui peut nier que l’alliance sioniste-américaine, avec ses forces et outils apparents et cachés, est capable, après l’absence de l’ère de l’équilibre international et de la bipolarité, de menacer et de mettre en œuvre des blocus et des sanctions unilatéraux quand et contre qui bon lui semble, et que ces sanctions et ce blocus, même s'ils visent les moyens de subsistance, les médicaments et tous les autres services nécessaires à la vie - les infrastructures - sont encore plus dangereux que cela, car ils visent la conscience, l'identité et l'appartenance, donc le l'État et la société se transforment nécessairement en milices économiques, partisanes, politiques, sociales et militaires, dont chacune est obligée de rechercher son salut individuel, et par conséquent - les superstructures - morales et spirituelles des sociétés sont détruites un jour. On a trouvé des superstructures délabrées dont les blessures étaient difficiles à réparer. Ces blessures avaient tendance à devenir historiques et permanentes, et cette malice n'est pas absente des foyers de l'orientalisme occidental, affiliés à l'État profond.
Qui parmi les Arabes, les musulmans et les peuples du monde ne sait pas que le projet sioniste est toujours opposé au projet national arabe, à la sécurité nationale arabe et à l’islam historique mahométan, et que ce projet a évolué du statut de colonisateur à celui d’occupation. , au génocidaire, comme au Liban et en Palestine aujourd'hui, à l'endiguement, à (Totalement changeant) en géographie, histoire, coutumes, diplomatie, esprit, coutumes, culture...etc.
De plus, qui devrait se souvenir et ne pas perdre de vue, en particulier les Arabes et surtout les jeunes diplomates, la résolution 242 de l'ONU de 1967, puis la résolution n° 3271 de 1975, qui définissait le sionisme (une forme de racisme et de discrimination raciale) et a appelé tous les pays du monde à (Résistance) à l'idéologie sioniste qui constitue une menace pour la sécurité et la paix mondiales) et aussi avant elle la résolution de l'ONU n° 1351 de 1973, selon laquelle l'Assemblée générale des Nations Unies a condamné l'alliance pécheresse entre racisme et sionisme... Puis les accords de Camp David, d'Oslo et de Wadi Araba sont venus renverser tous les aspects de la lutte internationale de haut niveau pour rendre ces décisions, et bien d'autres similaires, et n'eût été le sang qui coulait aujourd'hui. en Palestine et au Liban, nous aurions souffert sous le poids de l'accord du siècle, de la diplomatie spirituelle et des accords d'Abraham ?!
Il en va de même avec la résolution n° 2013 de l'ONU de 1978, qui justifie et soutient la résistance armée contre l'occupation, affirmant que « la lutte des peuples pour l'autodétermination est une lutte légitime qui est conforme aux principes du droit international : général - et humanitaire -, les autorités occupantes n'ayant pas de droit souverain sur les territoires occupés).
Le martyr et leader Hassan Nasrallah devait-il seul s'en rendre compte ?! En effet, il s'en est rendu compte, l'a éduqué et s'est battu pour lui, et que Dieu ait pitié de lui et lui pardonne ce qu'il était et ne sera jamais seul.
(La résistance ne faiblit pas avec le martyre de son leader, mais reste bien enracinée dans les cœurs et les esprits, car les grands leaders construisent dans leur vie la doctrine de la lutte, sa démarche et son chemin, et ils laissent derrière eux une culture intellectuelle. système et une approche pratique de la résistance et de l’honneur.) Avec chaleur et fierté, le Président Al-Assad a dit cela dans le message de Son Excellence à (la Résistance nationale libanaise - la famille du martyr Hassan Nasrallah), et avec gratitude et histoire que Son Excellence a écrit la vérité avec la vérité, notamment dans la conclusion .
Nous, en Syrie, et dans le mouvement nationaliste arabe qui est ancré dans les consciences de l'océan au Golfe, et parmi les peuples libres et honorables du monde, et au sein du parti Baas, sommes conscients de tout cela, et nous avons il ne l’oubliera pas et ne l’oubliera pas, dans un monde où le martyr symbolique Hassan Nasrallah n’a pas et ne sera pas le seul sacrifice de la résistance, de l’honneur, du droit et des droits.

Magazine hebdomadaire Révéler les faits, rédacteur en chef, Jaafar Al-Khabouri